21 au 26 Juillet 2024 : moment tant attendu par les Aspirantes à la congrégation des « Filles du Saint Esprit » ! Elles ont exprimé leur joie de se revoir et aussi de nous revoir, de découvrir nos communautés au Burkina Faso, surtout celles de Koudougou et de Diébougou.
L’ouverture du camp au Foyer Marie Balavenne -Koudougou-, a eu lieu à la chapelle avec la prière du chapelet ; puis nous nous sommes accueillies mutuellement, les jeunes continuant à se donner de leurs nouvelles au cours du repas. Tout au long du camp nous avons participé aux célébrations eucharistiques à l’évêché : c’était, pour plusieurs d’entre-elles, une découverte de ce lieu d’Église qui est à Diébougou. Venues de trois diocèses du pays -deux aspirantes de Koudougou, cinq de Ouagadougou et dix de Diébougou-, nous avons hébergé et accompagné ces dix-sept jeunes filles désirant nous connaitre davantage.
Nous avons proposé des thèmes répartis comme suit : le baptême et ses exigences ; la connaissance de soi ; l’appel à suivre le Christ et l’histoire de notre congrégation. Puis, que serait un camp des aspirantes FSE sans travaux champêtres ? sans fabrication du chapelet ? sans séances de chants ? Nous avons donc cultivé le champ des postulantes ; et les soirs, juste avant de préparer la messe du lendemain, nous avons appris quelques chants. Nous avons aussi donné aux aspirantes l’occasion d’apprendre à fabriquer des chapelets et des bracelets et de profiter de faire du sport en montant sur la colline de la divine Miséricorde et de la paroisse Cathédrale du diocèse de Diébougou où elles ont posé des questions sur les religieux des Béatitudes.
Au moment de nous séparer, nous les avons encouragées à garder le bon esprit, leur dynamisme en insistant sur leur attachement au Christ ; puis sœur Lydie Oho NOUFE leur a offert un chapelet pour signifier que chaque jour elles sont invitées à aller à Dieu par Marie.
Nous avons rendu grâce à Dieu pour le bon déroulement de ce camp et nous lui avons demandé de mettre dans le cœur de ces Jeunes filles le désir de le servir sur les pas de nos fondatrices Marie Balavenne et Renée Burel.
Par Sœur Edith YAMEOGO. Publié le 8 août 2024